Synopsis Buster, en cadeau de mariage, reçoit une dizaine de caisses contenant une maison préfabriquée. Un rival dépité intervertit les numéros de toutes les caisses, vouant l’assemblage des pièces à l’échec. Il s’ensuit une semaine de mésaventures, débutant par la construction chaotique de la maison, poursuivant avec de multiples modifications sur cette dernière, l’arrivée d’un piano, le placement d’un tapis, suivi de la pendaison de crémaillère se terminant au milieu d’une tempête... Celle-ci est même sur le point de retourner la maison qui tournera tel un manège. Finalement, Buster découvre qu’il s’est trompé de terrain, tire la maison à un autre endroit, et voit son habitation détruite par un train ! Les jeunes mariés décident de laisser la résidence détruite au premier venu et s’en vont ... Source : Wikipédia
Voyage au paradis (Never weaken) de Fred C. Newmeyer (1921 / Etats-Unis / 0h23) avec Harold Lloyd Texte de présentation Voyage au Paradis exploite pour la troisième fois le thème de l’escalade d’un gratte-ciel qui demeure l’une de ses marques de fabrique : il l’avait déjà abordé dans Look out below (mars 1919), Ma fille est somanbule (High and Dizzy, juillet 1920), et devait s’y adonner encore trois autres fois, dans Monte là-dessus (Safety Last, 1922), À la hauteur (Feet First, 1930) et Oh ! Quel mercredi ! (The Sins of Harold Diddlebock, 1947). Source : Ciné-Club de Caen
Synopsis Le club des menteurs se réunit pour élire l'histoire la plus invraisemblable. L'aventure survenue à Bricolo, génial inventeur d'un procédé de greffe universel, à toutes les chances de remporter la palme. Source : Site web du Festival d’Anères