Jeanne d’Arc
(Joan the Woman)
de Cecil B. DeMille
(1916 / Etats-Unis / 2h18)
avec Geraldine Farrar
Synopsis
Jeanne d’Arc n’est pas morte. Jeanne d’Arc ne meurt pas. Elle est dans une tranchée anglaise de 1916. Elle apparaît à un soldat qui vient de découvrir dans un trou son épée. Une mission suicide l’attend. Tu iras au bout de cette mission lui dit l’apparition de Jeanne, pour expier tes péchés envers moi. Flash-back. L’homme se souvient. Au Moyen Âge…Source : La Cinémathèque de ToulouseTexte de présentationLa séquence du procès à Rouen, dans Jeanne d’Arc (1916) témoigne d’une intelligence précoce et profonde du langage cinématographique : travail « expressionniste » sur la lumière (DeMille sera l’inventeur de la « Rembrandt-lighting »), points de vue expressifs (magnifique plan où la pucelle est observée dans sa geôle souterraine, en plongée, depuis une étroite lucarne), montage dramatique. Au début du film, Jeanne exaltée, les bras en croix, s’offre à la France, tandis qu’apparaît derrière son corps une fleur de lys (DeMille apprécie particulièrement les trucages…), comme une croix sur laquelle s’imprime déjà le martyre à venir.
Source : http://www.critikat.com/Cecil-B-DeMille.htmlFiche IMDb de Jeanne d’Arc