Fior di Male
(Fior di Male)
de Carmine Gallone
(1915 / Italie / 1h02)
avec Lyda Borelli, Ruggero Barni

Synopsis
Lyda , entraîneuse dans un bar, est contrainte d'abandonner son enfant. Dans l'espoir de le reconnaître, elle le marque d'un terrible tatouage sur le bras...
Source : Site web du Festival d’Anères

Texte de présentation
« Je me rappelle ces femmes au pas vacillant et convulsé, leurs mains naufragées de l'amour qui allaient caressant les murs le long des couloirs, s'agrippant aux rideaux, s'enivrant aux parfums des fleurs, entre jardins ombragés et grands escaliers de marbre ». C'est ainsi que s'exprime, Salvador Dali, à propos des grandes divas italiennes du muet dont Lyda Borelli est, sans doute, le modèle le plus exemplaire, la star la plus populaire. Elle créa un style de récitation qui, imité ou repris, influença tout ce courant. Elle compris l'importance expressive, du corps et du visage humain à l'écran. Au travers de la diva on aperçoit les prémices du star system américain. Les divas étaient des femmes superbes, hors d'atteinte du commun des mortel. Dans les films, elles mouraient souvent de mauvaise mort, étranglées, poignardées au coeur... Il était plus naturel quelles finissent détruites comme les créatures du démon.
Source : Site web du Festival d’Anères

Fiche IMDb de Fior di Male