Mensonge de Nina Petrovna, (Le)
(Die wunderbare Lüge der Nina Petrovna)
de Hanns Schwartz
(1929 / Allemagne / 1h40)
avec Brigitte Helm, Franz Lederer, Warwick Ward
Synopsis
Saint-Petersbourg avant la guerre. Un jeune aspirant, Michel Sillieff, s'éprend de la maîtresse de son colonel. Celle-ci n'est pas insensible à la grande jeunesse de Michel et, un soir, dans un restaurant à la mode, rencontrant l'aspirant, elle lui fait signe de la main. Le colonel s'inquiète : « Qui est ce jeune homme », demande-t-il ? « Un ami d'enfance». Ce mensonge de Nina Petrowna sera la cause de tout un drame d'une intensité dramatique bouleversante.Source : Site web du Festival d’AnèresTexte de présentationL?Allemagne ayant laissé partir Murnau, Dupont, Lubitsch, Leni, quatre de ses meilleurs réalisateurs, a dû chercher à les remplacer. Et c'est ainsi que Joë May et Hanns Schwartz se révélèrent d'abord avec un film réalisé en commun : Les Fugitifs, puis ensuite, chacun volant de ses propres ailes, l'un avec Le Chant du prisonnier, Asphalte ; l'autre avec Rhapsodie hongroise et Le Mensonge de Nina Petrowna. Quatre films qui compteront dans la production allemande de l'année. Comme Asphalte, Le Mensonge de Nina Petrowna est une aventure classique, mais il n'est d'aventures classiques qu'un grand talent n'arrive à renouveler. (...) Très belle, émouvante, troublante comme seule sait l'être l'étrange Greta Garbo, Brigitte Helm joue avec les sens des spectateurs.
Source : Site web du Festival d’AnèresFiche IMDb de Le Mensonge de Nina Petrovna