Raskolnikov
de Robert Wiene
(1923 / Allemagne / 2h30)
Texte de présentationC’est l’histoire de Raskolnikov, le Dostoïevski, celui du Crime et châtiment. Signé Robert Wiene qui avait donné ses lettres de noblesses à l’expressionnisme avec Le Cabinet du docteur Caligari, on culminera ici au sommet du « caligarisme », notamment à travers la séquence du cauchemar paranoïaque qui restera une des plus fameuses du cinéma. À retenir également, le nom du décorateur, Andrei Adrejew, que l’on retrouvera pour les décors de L’Opéra de quat’sous et Loulou.
Source : Site internet de la Cinémathèque de Toulouse