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vendredi 15 février 2013 à 20h30
La coupole
36, chemin de Nice
Saint-Loubès (33)
Site internet de la salle
Tarif : non communiqué
Musique :
Jacky Delance (piano)
Sept ans de malheur
(Seven Years Bad Luck)
de Max Linder
(1921 / Etats-Unis / 1h02)
avec Max Linder


Synopsis
Max se réveille dans sa somptueuse demeure, après avoir trop joyeusement enterré sa vie de garçon. Son serviteur brise son miroir alors que Max s’apprête à se raser. Les malheurs se mettent à pleuvoir sur lui...

Source : Cinémanères n° 2 / http://festival.aneres.free.fr/Aneres2010/Cinemaneres/Cinemaneres.htm

Texte de présentation
La brève carrière américaine du si français Max Linder contient peut-être ses meilleures réussites. Ce film-ci a la logique d’un cauchemar puisqu’il s’agit d’un rêve. Max, après avoir perdu son billet de train et son portefeuille, est obligé de se déguiser en nègre, terrorise une passagère du train, est arrêté par un singe habillé en policier, se retrouve dans une cage à lions. Il enchaîne les désastres sans avoir le temps de réagir, les recevant avec une inertie qui anticipe sur Keaton. Le gag le plus célèbre est celui où le valet de Max brise le miroir, en commande un autre et, en attendant, prend la place du reflet, après s’être fait une tête à la Max Linder. Ce gag a été repris dans de nombreux films, notamment par les Marx Brothers.
Source : Encyclopédie Larousse

Fiche IMDb de Sept ans de malheur

Étroit mousquetaire, (L')
(The Three Must-Get-Theres)
de Max Linder
(1922 / Etats-Unis / 0h55)
avec Max Linder


Synopsis
Un jeune gascon talentueux monte à Paris avec le fol espoir de devenir mousquetaire du Roi. La volonté et la dextérité de l’aspirant associées aux hasards du destin, lui feront épouser la cause de la Reine Anne d’Autriche, mais surtout de Constance, la suivante, dont il est éperdument amoureux...

Source : Cinémanères n° 1, p. 17 / http://festival.aneres.free.fr/Aneres2010/Cinemaneres/Cinemaneres.htm

Texte de présentation
Si les ressorts narratifs de la célébrissime histoire d’Alexandre Dumas sont bien respectés, Max Linder s’est amusé à ajouter force détails inattendus et drolatiques qui font de ce film un bijou du genre burlesque. On dit d’ailleurs qu’il considérait L’Etroit mousquetaire comme le meilleur film de sa carrière. Ce film est sorti presque un an après Les Trois mousquetaires, mais le succès et l’enthousiasme suscités par le somptueux spectacle de Douglas Fairbanks marquaient encore suffisamment les mémoires pour justifier la parodie de Linder. En portant toujours sa perruque un peu de travers, Max parodie l’élégance, la constitution athlétique et l’autosatisfaction radieuse propres à Fairbanks. L’histoire et les personnages sont la parfaite caricature de l’original : Richelieu devient Rich-Lou et Buckingham Bunkumin, alors que Max se prénomme Dart-in-Again et qu’Athos, Porthos et Aramis portent les noms fantaisistes de Walrus, Porpoise et Octopus.
Source : Site internet du Festival d'Anères

Fiche IMDb de L' Étroit mousquetaire


Source de l'information : http://www.lacoupole.org
Séance créée le samedi 22 septembre 2012 à 13h24 par Sylvain Airault
Dernière mise à jour le lundi 24 septembre 2012 à 00h40 par Sylvain Airault


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